La mondialisation se définit avant tout par des relations variées (flux migratoires, marchandises, capitaux, informations) rendant interdépendants de nombreux lieux et territoires. Étudier les territoires de la mondialisation, c’est donc d’abord s’interroger sur le processus qui produit et organise
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La mondialisation se définit avant tout par des relations variées (flux migratoires, marchandises, capitaux, informations) rendant interdépendants de nombreux lieux et territoires. Étudier les territoires de la mondialisation, c’est donc d’abord s’interroger sur le processus qui produit et organise
La mondialisation se définit avant tout par des relations variées (flux migratoires, marchandises, capitaux, informations) rendant interdépendants de nombreux lieux et territoires. Étudier les territoires de la mondialisation, c’est donc d’abord s’interroger sur le processus qui produit et organise des espaces en leur donnant une visibilité et une centralité universelles. C’est aussi mettre en lumière les hiérarchies induites qui en découlent, liées au degré d’insertion de ces lieux dans le « village global » qu’est devenue la Terre.
Conçu comme une synthèse claire et accessible, cet ouvrage s’adresse en priorité aux étudiants en géographie et en histoire, aux élèves des classes préparatoires, aux candidats aux IEP et aux concours des grandes écoles ainsi qu’aux enseignants.
Plan de l’ouvrage :
PARTIE 1. La mondialisation, productrice de lieux et de territoires.
1. Mondialisation et globalisation, approche épistémologique.
2. Le « village planétaire », une réalité toujours croissante.
3. Qu’est-ce qu’un territoire de la mondialisation ?
PARTIE 2. Lieux et territoires éclatants de la mondialisation.
4. Métropoles et métropolisation.
5. Littoraux et littoralisation.
6. Les cités-États.
7. Les espaces touristiques.
PARTIE 3. Lieux et territoires sombres de la mondialisation.
8. Marges délaissées, oubliées, dominées.
9. Les antimondes.
Les auteurs
Vincent Adoumié, agrégé d’histoire (1987), de géographie (1989), professeur de chaire supérieure en Première supérieure (Khâgne) au lycée Dumont-d’Urville de Toulon.
Jean-Michel Escarras, agrégé d’histoire-géographie, professeur de chaire supérieure en Première supérieure (Khâgne) au lycée Dumont-d’Urville de Toulon.
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