CloseLa confiance perdue dans les institutions et dans la parole d’État a produit des mondes clos. L’appartenance religieuse, culturelle et l’origine nationale constituent dès lors la seule information à connaître et le premier repère à identifier pour régler ses actions de défense ou d’agression. Et également pour choisir ses alliances avec certaines cultures et certaines confessions qu’ont dit dominées. Ce livre ambitionne d’intervenir aussi raisonnablement que possible dans le débat public sur ces enjeux, en maintenant à tout prix ce préalable fondamental : la condition première d’une possible liberté de penser est d’abord de ne pas croire en l’inaliénabilité de ses certitudes.
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La France et ses démons identitaires

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La confiance perdue dans les institutions et dans la parole d’État a produit des mondes clos. L’appartenance religieuse, culturelle et l’origine nationale constituent dès lors la seule information à connaître et le premier repère à identifier pour régler ses actions de défense ou d’agression. Et éga

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Auteur(s): Laacher, Smaïn

Editeur: Editions Hermann

Collection: Questions sensibles

Année de Publication:2021

pages:193

Langue:Français

ISBN:979-10-370-0620-2

eISBN:979-10-370-1514-3

La confiance perdue dans les institutions et dans la parole d’État a produit des mondes clos. L’appartenance religieuse, culturelle et l’origine nationale constituent dès lors la seule information à connaître et le premier repère à identifier pour régler ses actions de défense ou d’agression. Et éga
La confiance perdue dans les institutions et dans la parole d’État a produit des mondes clos. L’appartenance religieuse, culturelle et l’origine nationale constituent dès lors la seule information à connaître et le premier repère à identifier pour régler ses actions de défense ou d’agression. Et également pour choisir ses alliances avec certaines cultures et certaines confessions qu’ont dit dominées. Ce livre ambitionne d’intervenir aussi raisonnablement que possible dans le débat public sur ces enjeux, en maintenant à tout prix ce préalable fondamental : la condition première d’une possible liberté de penser est d’abord de ne pas croire en l’inaliénabilité de ses certitudes.

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